L’Iran annonce avoir arrêté les auteurs du ver Stuxnet et affirme que la firme Siemens serait complice. Le chef de la défense civile d’Iran déclare que Siemens devrait « être tenue pour responsable afin qu’elle dise comment et pourquoi elle a fourni les codes permettant l’attaque ». La firme allemande aurait donc « montré la voie » aux ennemis de l’Etat.
L’Iran accuse donc Siemens d’avoir permis le sabotage des installations iraniennes de production d’uranium enrichi, à l’usine de Natanz, que le ver avait pu mettre hors-service.