Noms de domaine

Le kiwi, ce petit oiseau incapable de voler, étant le symbole de la Nouvelle-Zélande, il n’est pas surprenant d’apprendre qu’un groupement de sociétés néo-zélandais demande la création d’une extension .KIWI.

L’extension kazakhe .ҚАЗ, l’équivalent du .KZ en cyrillique, a été ouverte aux titulaires de marques du 1er mai au 31 juillet. Ce mercredi 15 août 2012, l’ouverture générale du .ҚАЗ aura lieu selon le principe habituel du « premier arrivé, seul servi ».

Si les candidats à la création de noms de domaine aux extensions personnalisées ont déposés leurs demandes il y a quelques mois, l’ICANN doit maintenant faire face à une limite technique : l’organisme a expliqué être limité à la création de 1000 gTLD par an.

Depuis le 10 juillet, l’extension uruguayenne .UY est accessible à tous, selon le principe habituel du « premier arrivé, seul servi ».

Le registre brésilien a annoncé l’ouverture prochaine d’un nouveau sous domaine, le .ECO.BR, dédié aux projets de sensibilisation écologique.

Google, avec ses 99 extensions demandées, est l’une des entreprises les plus présentes dans le programme. On note ainsi que Google a demandé des extensions personnalisées très sérieuses mais aussi très surprenantes…

L’ICANN vient de dévoiler la liste des candidatures aux nouvelles extensions. En France, on dénombre 54 demandes de nouvelles extensions, derrière les Etats-Unis (884 demandes), les Iles Caïman (91), le Luxembourg (85), la Suisse (78), les Iles vierges Britanniques (72), le Japon (71), l’Allemagne (70) et Gibraltar, avec 62 demandes.

En attendant la liste complète des projets le 13 juin, on sait déjà que Google fait partie des premières entreprises à avoir déposé des demandes de création d’extensions, dans le cadre du programme de création des nouvelles extensions.

L’Uruguay s’apprête à ouvrir en juin les enregistrements de noms de domaine directement sous l’extension .UY.

Le registre du Panama a annoncé il y a peu l’ouverture des enregistrements en .PA. Ouverts à tous, les enregistrements ont débutés par une phase de « Grandfathering » qui permet aux détenteurs de noms de domaine déjà enregistrés sous l’un des sous-domaines existants de demander leurs équivalents en .PA.