Aux Etats-Unis, une “class action” (action collective) a été lancée à l’encontre du réseau social LinkedIn.
Katie Szpyrka, résident dans l’Illinois, réclame 5 millions de dollars de dommages et intérêts. Selon elle, le service “a échoué dans la protection des informations de ses utilisateurs, en les stockant dans des conditions les rendant identifiables, y compris des adresses emails, les mots de passe et les identifiants de connexion.”
La plainte concerne tous les utilisateurs américains de LinkedIn disposant d’un compte avant le 6 juin dernier, date à laquelle le piratage a été dévoilé.
Il est notamment reproché à LinkedIn de ne pas avoir effectué de “salage” du chiffrement des mots de passe, censé les rendre plus difficile à décoder. Le procédé à été mis en place à la suite de la fuite des données.